Le soleil était haut dans le ciel et taper fort sur les têtes des habitants. Mayuko suffoqué dans sa tenue mais n'avait pas du tout envie de se changer. Arako était sur le haut de son crâne et haletait lui aussi. Mayuko séchait ces cours à l'académie ce jour là. Et oui notre petite aspirante ninja n'aimait pas du tout l'école mais cela c'est depuis sa naissance. Elle attendait simplement le jour de l'examen pour enfin devenir genin comme le lui avait promit son Kazekage. Elle en avait marre de marcher au soleil alors elle alla s'abriter sous un porche mais même là la chaleur était étouffante.
Sur son passage tous les habitant la regardaient avec horreur et peur. Les mères qui étaient accompagné de leurs enfants accélérèrent le pas car elles avaient peur que Mayuko leur demande si elle pouvait jouer avec leur progéniture. Mayuko c'était parfaitement accoutumé aux regards des autres et maintenant sans fiché éperdument.
Arako n'en pouvait plus et il décida de s'envoler se dégourdir les ailes. Il laissa donc Mayuko seule.
*Se que j'aimerais bien pouvoir voler moi aussi.*
Mayuko enviait terriblement Arako. Elle pensait qu'il n'avait jamais de contrainte ni de devoir envers quelqu'un alors qu'en réalité c'était tout autre. Mayuko s'adossa au mur du porche et quand elle regarda la bâtisse elle se rendit compte que c'était chez elle. Sa maison. La demeure où elle avait grandie dans une salle sans fenêtre. Elle se souvint aussi que c'était ici qu'avait eut lieux la boucherie. Elle se redressa et entra.
C'était la première fois depuis le massacre qu'elle entrée dans la demeure principale de son clan.
*Je me demande si tout est encore en place? Ont-ils tout nettoyer après?*
Quel fut sa surprise de voir que tous les meubles étaient à leur place exacte et que rien avait changé. Et en effet tout avait était nettoyé après le massacre. Il n'y avait plus aucun corps, plus aucune trace de bagarre et plus aucune trace de sang. La demeure était complètement vide. Inhabitée. On aurait dit une maison fantôme.
*Incroyable, ils ont tout rangé. Il n'y a plus aucune trace de combat dans cette maison. Je me demande si je peut encore y vivre?*
Mayuko se retourna pour voir qui arrivé dans son dos. Ces yeux refléter de la colère mais envers quoi était elle en colère?